Derrière ce bureau d’études,
Un seul interlocuteur
pour une gestion optimisée des projets, garantissant un travail dans les temps impartis
Son histoire
Comment en suis-je arrivé là ?
Pêcheur depuis mon plus jeune âge, j’ai orienté mes études vers un master « environnement, sciences de l’eau », pour approfondir mes connaissances en écologie aquatique, comprendre le fonctionnement hydrologique et écologique des cours d’eau, et développer des typologies de restauration adaptées à cet écosystèmes que je voyais se dégrader année après année.
Mon expérience de gestionnaire
C’est en occupant le poste d’ingénieur milieux aquatiques au SMBV du Linon, pendant plusieurs années, que j’ai pu acquérir de solides connaissances sur les façons d’optimiser les restaurations dépendantes des versants, de l’occupation du sol, et de l’hydromorphologie locale.
En parallèle, j’ai commencé à travailler sur des projets plus techniques et complexes, en regardant au delà de la zone humide, sur les versants. J’ai eu l’opportunité de travailler sur des projets passionnants, qui m’ont permis de développer mes compétences techniques et d’acquérir une expertise pointue dans le domaine des milieux aquatiques et ses interactions avec les bassins versants.
Pendant ces années, en tant que gestionnaire dans le domaine de l’eau, j’ai rapidement compris que les prestations des bureaux d’études existantes ne répondaient pas toujours de manière satisfaisante aux besoins des territoires. Les projets existants étaient souvent mal adaptés aux spécificités locales des écosystèmes aquatiques, ce qui rendait les restaurations moins ambitieuses. Les délais étaient également souvent trop longs, ce qui entraînait des retards fréquents.
Pour pallier à ces problèmes, j’ai décidé de créer mon propre bureau d’études. Je voulais aider mes anciens collègues en leur fournissant des prestations de qualité, adaptées à leurs besoins spécifiques et à la praticité qu’ils recherchaient. Je voulais proposer des projets plus ambitieux, qui auraient un impact réel sur les territoires et les communautés qui les habitent.
En effet, je crois qu’il est essentiel d’aborder chaque projet de restauration en considérant les spécificités hydromorphologiques de chaque segment indépendamment les uns des autres (topographie locale, rugosité, etc.), comme préconisé par M. Bramard, J.-R. Malavoi, P. Adam ou encore M. Le Bihan.
